Une documentation en ligne est enfin disponible sur le site. Elle sera bientôt téléchargeable sous la forme d’un module supplémentaire.
On peut la consulter ici.
Une documentation en ligne est enfin disponible sur le site. Elle sera bientôt téléchargeable sous la forme d’un module supplémentaire.
On peut la consulter ici.
À l’occasion du 50e anniversaire de cet événement historique qui a captivé le monde entier, le module « Apollo 11 » rend hommage aux premiers pas de l’homme sur la Lune.
Un modèle en 3d du LEM et du module de commande est juste placé entre la Terre et la Lune. Aucune trajectoire n’est calculée. La date n’est pas prise en compte.
Coïncidence de calendrier, cette nouvelle version propose également une traduction en russe du site et du logiciel. Merci à Sergey Telukhin pour avoir réalisé ce travail énorme.
Enfin, la version Android contient des exécutables optimisés pour les architectures arm64-v8a et x86. Une version spécifique pour les processeurs de type x86 64 bits est en préparation.
Il est maintenant possible de suivre, en temps réel, la position et l’orientation du télescope spatial Hubble.
Le télescope changeant de cible
En cliquant sur le télescope et en choisissant l’option « Space telescope live », on peut également accéder au planning de l’instrument, au nom de l’astronome qui est à l’origine de l’observation en cours ainsi qu’aux paramètres de l’instrumentation (caméra utilisée, filtres, valeur du champ).
Et merci à la STScl Web Team de m’avoir répondu si rapidement et de mettre à la disposition du grand public les innombrables retombées de ce télescope !
La NASA vient de publier une carte inédite du ciel. Elle représente ce que nous pourrions voir si nos yeux étaient sensibles aux rayons X. Elle a été obtenue grâce à l’instrument NICER (« Neutron Star Interior Composition Explorer ») qui effectue des mesures à bord de la Station Spatiale Internationale depuis juin 2017.
La principale mission de Nicer est d’en savoir plus sur l’intérieur des étoiles à neutrons, des astres très compacts et très denses formés après l’explosion d’une étoile en fin de vie. L’un des objectifs est en particulier de mesurer leur diamètre « avec une précision de 5 % », indique la Nasa.
Pour effectuer ces relevés, NICER balaye le ciel en se déplaçant d’une cible à l’autre. Ce sont ces mouvements qui sont à l’origine des arcs qui sont visibles sur l’image finale.
Les déplacements de NICER en accéléré
Si des courbes apparaissent plus lumineuses que d’autres, c’est uniquement parce que l’instrument a effectué de nombreuses fois le même chemin entre certaines cibles. Ces courbes se croisent sur des points brillants qui sont des sources puissantes de rayons X.
Parmi ces sources, on peut trouver les Dentelles du Cygne ( Cygnus Loop ), un rémanent de supernova, ou la source MAXI J1820+070 qui est soupçonnée d’être en fait un trou noir.
En activant le module NICER dans WinStars, on peut remplacer le fond du ciel habituel par l’image que la NASA vient de publier sur le site de la mission (il faut également désactiver le module Brunier pour que l’image apparaisse normalement).
Les annotations originales de la NASA ont été volontairement laissées sur l’image finale.
La carte que vient de publier la NASA telle qu’elle apparait dans WinStars