Version 3.0.270 : les dernières nouvelles de l'astronomie - WinStars 3

Version 3.0.270 : les dernières nouvelles de l’astronomie

C’est un ancien projet que j’ai toujours eu en tête et qui réapparaît sous une nouvelle forme dans cette version : utiliser les capacités de calcul et de visualisation de W3 pour illustrer l’actualité astronomique du moment.

Ainsi, nous avons introduit la mission Artemis 1 et la possibilité de suivre la capsule Orion en temps réel. À long terme, j’aimerais réaliser quelque chose de bien plus complexe en reproduisant toutes les étapes de la vie d’une mission, depuis le lancement, les corrections de trajectoire jusqu’à l’accès aux données scientifiques. Cependant, il y a de nombreux défis à relever. Tout d’abord sur le plan technique (il est nécessaire d’améliorer encore l’apparence des objets et d’ajouter des effets plus complexes comme les ombres projetées, les réflexions métalliques, etc.), mais plus difficile encore, obtenir des informations sur les opérations de maintenance, d’orientation, d’allumage de moteurs, d’acquisition de données, ce qui implique d’avoir un contact avec un membre de l’équipe, ce qui n’est pas du tout évident. Mais après tout, je vis à une cinquantaine de kilomètres du Deep Space Network de Madrid… Une piste à explorer ?

Cette version est également marquée par l’apparition d’un nouveau symbole (la lettre i en rouge) indiquant un lien vers un article en ligne sur theconversation.com.

Il s’agit d’articles de vulgarisation de haute qualité rédigés par des astronomes ou des physiciens et que je reproduis ici avec leur autorisation. Un grand merci à tous ces chercheurs qui consacrent une partie de leur temps à informer le grand public sur l’état des recherches actuelles en astrophysique.

Cette version corrige aussi un problème concernant le catalogue Gaia EDR3 qui n’était plus accessible suite au changement d’URL du Centre de Données astronomiques de Strasbourg.

Et enfin… W3, c’est près de 100 000 lignes de code en C++ que je maintiens seul. C’est plus de 3 Go de données astronomiques stockées sur deux serveurs qui permettent d’alimenter le logiciel. C’est plus d’un milliard d’objets que le programme est capable d’afficher. Alors, vous pouvez m’encourager à continuer en achetant la version complète, ou en laissant un commentaire positif sur Google Play, etc. Merci à vous !